# Kaïmilia Winter.
Je m'impose en tant que
Kaïmilia Winter. Mon nom de famille laisse prétendre que je suis de classe
moyenne et je ne le nierai pas. Après tout, ce dernier me suit depuis
vingt - sept années. Sachez que je suis
célibataire parce que mon lit demeure davantage confortable de cette manière, mais que cela ne m'empêche pas d'
exercer mon métier de psychologue, et ce, depuis cinq ans. J'appartiens à la famille
Blackmorgans.
« Ne faites pas de psychologie dans la colère, vous verriez trop juste. »
Charmante jeune - femme menue d'un mètre soixante cinq. Ses courbes féminines soulignent sa somptueuse silhouette ainsi que sa démarche lente et assurée. Son côté félin séduit de nombreux regards intéressés, avares de s'en délecter.
La douceur de son visage rivalise avec la tendresse d'une brise matinale caressant divinement la peau lisse de Kaïmilia. Les traits de son visage sont peints avec énormément de délicatesse ; son teint demeure resplendissant et son regard innocent. Ses lèvres sont délectables, toujours entrouvertes ; on pourrait y observer un léger reflet semblable à celui des feuilles en peines guttation, donnant une impression goûtue à cette belle cavité. Des mèches rebelles encadrent son faciès ovale, ces dernières voletant à leur guise au gré du vent.
Courtoise, elle veille au ton qu'elle emploie lorsqu'elle prend la parole. Ce dernier sera généralement doucereux ou délicieux. Elle prête également une attention particulière à ces phrases, utilisant un vocabulaire des plus distingués, ravissant l'ouïe d'autrui.
Son versant énigmatique laisse planer un certain mystère ; elle semble mortelle et nuisible pour les autres, elle est absolue. Impudente, mais également lunatique, son insolence demeure à l'extrême lorsque sa face caractérielle remonte à la surface. Parallèlement, son excentrisme peut s'avérer être à son paroxysme. Cynique et arrogante, voilà ce qu'elle peut être. Elle subsiste en étant audacieuse et remarquable ; en effet, elle captive tout en restant, paradoxalement, désintéressée. Elle regorge de sadisme, saisissant à la volée toutes les opportunités fructueuses. Elle se comporte comme une mythomane, mais n'a pas été examinée positive à cette maladie. Le fait qu'elle soit indépendante a pris le dessus sur elle et l'a poussée à être directe, autoritaire ou même grossièrement hypocrite. Son côté vaniteux a engendré l'apparition de son incroyable narcissisme. Froide de nature, elle reste égoïste et fourbe dans tous les cas.
« Votre nom ne me dit rien. Seul votre regard me parle du silence qui vous déserte ou qui vous hante. »
« Il est inutile de revenir longuement sur le passé préhistorique qui a vu naître les sciences : hypothèses et conjectures ne permettent pas d'établir un profil indubitable de l'évolution de celles-ci. On sait néanmoins que de nombreuses sciences (mathématiques, physiques, physiologie, médecine...) furent étudiées dans les temps antiques, aussi loin en fait, que remontent les traces de créations humaines. En parallèle, les Sciences humaines ont davantage de difficultés à se séparer de la philosophie, dont elle partagent le même sujet d'étude, l'homme. Celui-ci est encore considéré à l'aune de la religion comme appartenant à un monde dont la destinée est tracée et guidée par le Créateur.
Les psychologues se montrent fort prolixes en matière de développement de l’enfant et semblent considérer que l’age adulte étant atteint, la notion de développement n’est plus pertinente pour décrire ce qu’ils observent. Il est vrai que le développement de l'adolescent se situe dans une phase très explicitement sensible des apprentissages.
La psychologie sociale s'intéresse à l'individu dans sa vie quotidienne et non à ses pathologies.
C'est le domaine d'étude qui analyse la façon dont les comportements, cognitions (pensées) et affects (émotions ou sentiments) de l'individu sont affectés par le comportement et les caractéristiques des autres, les caractéristiques de la situation dans laquelle l'individu est inséré ainsi que par ses propres traits psychologiques et sociales. »
Mes doigts s'immiscèrent machinalement dans ma chevelure tandis que ma tête entrait lentement en collision avec le bois épais de mon bureau. En effet, je sombrais dans la délicieuse pénombre apportée par Morphée, posant mon front sur la dissertation que j'étais en train de rédiger à propos des sciences humaines. Je ne me préoccupai pas de l'encre maintenant absorbée par ma peau, étant d'ores - et - déjà inconsciente.
# (fréquence de connexion)
Minimum une fois par jour la semaine. Il se peut que je sois débordée le week - end également, mais essayerai tout de même de me connecter pour me mettre à jour !
# (mot de la fin, et oui déjà !)
Je suis capable d'effectuer d'étranges sons avec ma langue. Blblblbl !